Le Seigneur Des Anneaux - Lyon

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Les spectateurs pourront revoir Le Seigneur des. Anneaux : La Communauté de l 'Anneau de Peter. Jackson en haute définition et profiter de la musique du film ...
COMMUNIQUE DE PRESSE

SAISON

2009/2010 JUIN

CINE CONCERT

JEUDI 17, VEND. 18 JUIN > 20H SAM. 19 JUIN > 18H DIM. 20 JUIN > 16h

AUDITORIUM DE LYON

CINE-CONCERT EXCEPTIONNEL PREMIERE FRANÇAISE SUR ECRAN GEANT VO SOUS TITREE

ORCHESTRE NATIONAL DE LYON CHŒUR DE LYON-BERNARD TETU MAITRISE DE LA PRIMATIALE SAINT-JEAN KAITLYN LUSK, SOPRANO LUDWIG WICKI, DIRECTION

POUR LA PREMIERE FOIS EN FRANCE, VIVEZ LE SEIGNEUR DES ANNEAUX AVEC LA MUSIQUE EN DIRECT !

Le Seigneur Des Anneaux

Les spectateurs pourront revoir Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau de Peter Jackson en haute définition et profiter de la musique du film, composée par Howard Shore, jouer par un orchestre en temps réel. 200 musiciens chevronnés, mené par le chef d'orchestre Ludwig Wicki, vous entraîneront dans les Terres du Milieu imaginées par J. R. R. Tolkien le temps d'un spectacle qui s'annonce réellement magique. Premier volet de la trilogie cinématographique Le Seigneur des anneaux, inspirée de la célèbre saga de J.R.R. Tolkien, «La Communauté de l’Anneaux» est présenté au public de l’Auditorium dans sa version originale sous titrée sur un écran géant de 17 mètres par 7. Pour l’occasion et pour la première fois en France, après un triomphe à Londres, la partie musicale – flamboyante fresque de Howard Shore – sera jouée en direct par plus de cent musiciens et quatre-vingt dix choristes.

« La Communauté de l’Anneau » Film de Peter Jackson sur un scénario de Fran Walsh, Philippa Boyens et Peter Jackson d’après le livre de J.R.R. Tolkien Avec Elijah Wood, Ian McKellen, Liv Tyler, Viggo Mortensen, Sean Astin, Cate Blanchett, John Rhys-Davies, Billy Boyd, Dominic Monaghan, Orlando Bloom, Christopher Lee, Hugo Weaving, Sean Bean, Ian Holm, Andy Serkis Musique de Howard Shore

TARIF

: de 16 à 75 € selon la série

RENSEIGNEMENTS - RESERVATION

: Auditorium de Lyon - 04 78 95 95 95 -

www.auditorium-lyon.com CONTACT PRESSE AUDITORIUM : Marie-Marc Bonneviale - 04 78 95 95 81 [email protected]

LE SEIGNEUR DES ANNEAUX Adaptation mythique et longtemps espérée du chef-d’œuvre de John Ronald Ruel Tolkien, la trilogie du Seigneur des Anneaux [La Communauté de l’Anneau (2001), Les Deux Tours (2002) et Le Retour du roi (2003)] réalisée par le cinéaste néo-zélandais Peter Jackson est une parfaite réussite qui, loin de décevoir les lecteurs du roman, a amené de nombreuses personnes à découvrir l’univers si particulier de l’auteur. Cette adaptation, néanmoins, s’annonçait comme une véritable gageure. Gageure pour le scénariste, tout d’abord, puisque cette somme de mille et quelques pages ne pouvait être portée à l’écran sans que l’on y pratique de nombreuses coupes, et c’est ce qui fut fait au grand dam des puristes et autres gardiens du temple. Certaines scènes ne figurant pas dans l’ouvrage furent aussi ajoutées à un scénario déjà complexe, au risque de le dénaturer. Heureusement, ce ne fut pas le cas. Gageure économique et logistique ensuite : il fallut en effet jouer avec un budget colossal, des équipes pléthoriques, des stars de tous horizons et un planning démentiel (274 jours de tournage étalés sur quinze mois). Ce défi reposait sur les épaules d’un seul homme : Peter Jackson, cinéaste peu connu du grand public. En effet, il n’était jusqu’alors qu’un metteur en scène spécialisé dans le cinéma de genre, et sa carrière n’était suivie que par des cinéphiles avisés. C’était la première fois qu’il se confrontait à une expérience cinématographique d’une telle envergure. Enfin, gageure technique : les effets spéciaux sont ici très nombreux. Il fallait rendre l’univers de Tolkien crédible à l’écran et cela se révéla une tâche ardue. Les moindres détails ont pourtant été respectés malgré de nombreuses contraintes (la taille des Hobbits en est un exemple frappant ?!) Pourtant, tous les effets spéciaux ne furent pas réalisés par ordinateur, il fallut créer des masques et des prothèses faciales pour certains personnages… Le tournage eut lieu en plein cœur de la Nouvelle-Zélande, et Peter Jackson joue avec merveille entre les scènes en studio et les décors naturels. Cette opposition renforce avec une certaine acuité la rivalité existante entre le Bien et le Mal, une thématique que l’on retrouve dans d’autres sagas mythiques comme Star Wars, dont la thématique est assez proche. C’est l’opposition entre les deux mondes incarnant ces valeurs qui sert de fil conducteur à la grande aventure du Seigneur des anneaux, une aventure mêlant mythologie, magie et pouvoir. Cette opposition transcende les époques et les civilisations, le combat du Bien contre le Mal se veut ici universel.

SYNOPSIS « Au début, il y avait l’Histoire, puis l’Histoire devint légende, pour finalement se transformer en mythe », nous indique la voix off dès le début du film. L’aventure qui va suivre ne sera pas bénigne, et de son échec ou de sa réussite va dépendre l’ordre du monde. Le jeune Frodon Sacquet (Elijah Wood), un Hobbit, hérite de son oncle Bilbon un anneau magique. Source du pouvoir absolu, cet anneau a été forgé par le mage noir, Sauron, maître du Mordor, et il est devenu l’objet de tous les combats et de toutes les convoitises. Frodon est poursuivi sans relâche par les Orques et les Nazgûl, disciples de Saroumane le Magicien (Christopher Lee, acteur légendaire du cinéma fantastique britannique, époque Hammer) – Saroumane fut autrefois le chef du conseil des Sages mais, attiré par le pouvoir de l’anneau, il est passé du côté sombre. Frodon sera secondé et protégé dans cette aventure périlleuse par de nombreux alliés, formant la Communauté de l’Anneau : communauté hétéroclite, où se croisent Elfes, Hobbits, chevaliers et magicien. On y trouve le redoutable Legolas, fils du roi des Elfes (campé par Orlando Bloom), Aragorn (Viggo Mortensen au sommet de son art), l’héritier du trône du Gondor, le nain Gimli, brave au combat, Gandalf le Magicien et Sam le Hobbit, compagnon fidèle de Frodon … Le défi et les ennemis auxquels ils devront faire face seront importants et puissants. De nombreux périls parsèmeront leur chemin, et les sacrifices qu’ils devront consentir les marqueront à jamais. Le combat contre Sauron et ses cruels Orques s’annonce sans merci. Mais de leur réussite dépend la face du monde et de ses habitants. Comme dans de nombreuses légendes, c’est un combat inégal qui se joue. Les forces du mal sont ici comme ailleurs très puissantes, voire invincibles. La soif de pouvoir les rend cruelles. Face à eux, des êtres simples, sans destin apparent, se voient entraîner dans cette épopée. C’est l’éternel combat de David contre Goliath, un combat que l’on croit perdu d’avance…

JOHN RONALD REUEL TOLKIEN (1892-1973) Auteur vénéré à travers le monde par toute une génération de lecteurs assidus, John Ronald Reuel Tolkien est considéré comme le maître absolu de la littérature médiévale fantastique, plus communément dénommée «Heroic fantasy». Son univers, où se mêlent influences celtiques, magie et références surnaturelles, a su transcender les peuples et les croyances. Écrivain d’origine anglaise, il est né le 3 janvier 1892, à Bloemfontein, en Afrique du Sud. Mais il passera toute son existence en Angleterre. Après avoir combattu durant la Première Guerre mondiale, il embrasse la carrière universitaire et enseignera à Oxford. Il est reconnu comme un grand philologue. Mais c’est en tant qu’écrivain qu’il obtient la reconnaissance, et ses principaux romans, Bilbo le Hobbit (1937) et Le Seigneur des Anneaux (1954-1955), vont devenir des œuvres de référence de la littérature fantastique. Son influence sera importante et dépassera les frontières de la communauté littéraire pour toucher l’univers du rock (le groupe Led Zepellin citant à de nombreuses reprises Tolkien comme source d’inspiration) et le monde de la contre-culture. Il décède le 2 septembre 1973 à Bournemouth, dans le Dorset (Grande-Bretagne), à l’âge de quatre-vingt-un ans. Il laisse derrière lui une œuvre importante, riche et foisonnante. Adaptée à l’écran en 1978 par Ralph Bakshi sous la forme d’un film d’animation, la première version du Seigneur des Anneaux se révéla très décevante et ne connut pas le succès retentissant de la trilogie réalisée par Peter Jackson. Les ouvrages de J. R. R. Tolkien, notamment Le Seigneur des Anneaux, ont été traduits et publiés en France par les éditions Christian Bourgois.

HOWARD SHORE, COMPOSITEUR Né à Toronto, Howard Shore est l’un des compositeurs hollywoodiens des plus prolifiques avec plus de soixante musiques de films à son actif en vingt-cinq ans de carrière : Le Silence des agneaux (1991), Philadelphia (1993), Madame Doubtfire (1993) Seven (1995), The Game (1997), Looking for Richard (1996), … Avec les partitions de la Trilogie du Seigneur des Anneaux, il a créé une musique passionnante qui donne une nouvelle dimension à l’univers de J.R.R.Tolkien. Howard Shore a reçu de nombreuses récompenses pour cette bande originale, trois Golden Globes et quatre Grammy Awards dont celui de la « Meilleure musique de film ». En 2003, Howard Shore dirige l’Orchestre Symphonique et le Chœur de Nouvelle-Zélande pour la première de la Symphonie du Seigneur des Anneaux à Wellington. Depuis, elle a été jouée près de 140 fois par les plus prestigieux orchestres internationaux. Aussi à l’occasion de la nouvelle performance, il a décidé de la recomposer pour en faire une véritable symphonie en six mouvements dont la puissance évocatrice ne pourra qu’enchanter les adeptes de cette grande aventure. En 2008, Howard Shore donne en première au Théâtre du Châtelet ainsi qu’à Los Angeles son opéra intitulé The Fly (La Mouche). Ses derniers projets sont l’œuvre Fanfare pour l’Orgue Wanamake de Philadelphie et le concerto pour piano en 2010 pour Lang Lang. Actuellement, Shore travaille sur un second opéra et à l’intention de retourner dans la Terre du Milieu avec Bilbon le Hobbit, nouvelle adaptation cinématographique d’un roman de JRR Tolkien.

KAITLYN LUSK, SOPRANO Depuis ses débuts magistraux avec le Symphonique de Baltimore en 2003 à l’âge de 14 ans, Kaitlyn Lusk a été sollicitée pour de nombreuses prestations en tant que soliste par les directions d’orchestres internationaux. Avec une carrière déjà impressionnante, elle a démontré une extraordinaire polyvalence et profondeur musicale. Dés l’automne 2004, elle devient la voix soliste de la Symphonie du Seigneur des Anneaux de Howard Shore. Elle a déjà interprété son rôle avec plus de 25 orchestres aux Etats-Unis, comme au Canada, (l’Orchestre de Philadelphie, Le Symphonique de San Francisco ou encore celui de Houston) et sous la direction de Maestro de rangs internationaux (Keith Lockhart, Alexander Mickelthwate, Alastair Willis, Stuart Palmer). Pour ses débuts européens elle chante accompagnée du Maestro John Mauceri et du légendaire Gewandhaus Orchestra de Leipzig. Outre ses performances live, Kaitlyn Lusk collabore pour son premier album studio No Looking Back avec l’un des plus subtiles musiciens et compositeurs de l’industrie d’aujourd’hui : Kim Scharnberg. Que ce soit dans l’interprétation de ses chansons ou celle de la performance du Seigneur des Anneaux, Kaitlyn Lusk délivre, malgré son âge, la même exubérance mêlée de sang-froid et de maîtrise.

LUDWIG WICKI, DIRECTION Natif de Lucerne, Ludwig Wicki grandit dans une famille de musiciens. Il trouve ses premières influences dans la Folk et la musique de chœur ; très tôt, il se découvre une passion pour les musiques de films. Wicki commence son éducation musicale en étudiant le trombone. Plus tard, il devient membre de l’Orchestre de l’Opéra de Lucerne puis directeur musical du Palace Chapel de Lucerne. Il décide ensuite d’étudier la direction de chœur et la direction d’orchestre au Conservatoire de Bern et à l’Académie Musicale de Pescara. Ayant développé un large répertoire allant du classique à l’avant-garde en passant par le jazz, Ludwig Wicki trouve un plaisir particulier dans le mélange des styles et des époques, ce qui constitue en réalité la clé de sa richesse et de sa sensibilité. Manifestant toujours un vif intérêt pour les musiques de film, il commence à réfléchir à un nouveau projet : former un orchestre professionnel exclusivement consacré à ce genre musical. Dix ans plus tard, l’Orchestre du XIXe siècle était créé à Lucerne. Il connut un succès continental immédiat. A une époque où les orchestres subventionnés rencontraient un véritable déclin, celui-ci se produisait à guichet fermé, sans sponsor ni aides, devant un public mêlant mélomanes et cinéphiles. Ludwig Wicki a collaboré par la suite avec des compositeurs de renom tels que Randy Newman, Martin Böttcher ou Howard Shore. Le dernier grand chantier en date est le spectacle de la trilogie du Seigneur des Anneaux. La projection du premier volet de la trilogie avec musique en live, événement sans précédant, a déjà connu un vif succès à travers le monde -Lucerne, Munich, Cracovie, St Louis, Winnipeg.

LES PETITS CHANTEURS DE LYON (MAITRISE DE LA PRIMATIALE DE LYON) Charlemagne réalisant que l’unité de son royaume se ferait par l’enseignement, il crée des écoles et, en l’an 799, crée à Lyon une école de chant à la primatiale Saint-Jean. Les enfants apprennent la grammaire, les mathématiques et le chant. Et depuis 1 200 années, la Maîtrise de Lyon poursuit son chemin… Jean-François Duchamp, maître de chapelle, en prend la direction en 1974. Elle est la plus ancienne institution musicale de Lyon. Cette maîtrise de cathédrale est actuellement une originalité en France. Uniquement composée de garçons (80 garçons de 10 à 25 ans), elle met en valeur la qualité vocale de leurs voix, l’étendue de la tessiture, la pureté du timbre, la puissance sonore. Rappelons que les maîtrises ont été pendant des siècles le berceau de grands musiciens comme Palestrina, Bruckner, Bach, Purcell, Duruflé… La création d’une école maîtrisienne en horaires aménagés au sein de l’Externat Sainte-Marie de Lyon permet un enseignement musical approfondi (8 heures par semaine) dans une scolarité classique, formation vocale, solfège, harmonie et mise en place d’un répertoire qui recouvre toute l’histoire de la musique, du chant grégorien à nos jours. Cet enseignement permet une formation Individuelle, collective et spirituelle.

CHŒURS DE LYON-BERNARD TETU Les Chœurs de Lyon-Bernard Tétu ont une configuration variable et regroupent plusieurs formations : c’est tour à tour l’Ensemble de solistes, le Chœur de chambre, le Chœur d’oratorio ou le Chœur symphonique qui interprète des œuvres rares du patrimoine musical français, de grandes pages du répertoire romantique et les créations contemporaines. Leurs programmes, riches de diversités, témoignent du travail de recherche qui les anime et jette des passerelles entre les musiques, entre le concert et le spectacle, associant parfois danseurs ou comédiens aux musiciens. Installés à Lyon depuis bientôt trente ans, les Chœurs de Lyon-Bernard Tétu y présentent chaque année une saison de concerts. Ils rayonnent aussi dans les grands festivals français de musique et à l’étranger (Allemagne, Angleterre, Canada...). Ce parcours est jalonné de belles rencontres musicales avec des solistes de renom, des chefs et des orchestres prestigieux. Partenaire vocal privilégié de l'Orchestre national de Lyon, ils collaborent avec la plupart des institutions culturelles lyonnaises. Cette carrière est indissociable de la personnalité de leur directeur musical Bernard Tétu, qui exerce une triple activité de chef d’orchestre, de chef de chœur et de professeur de direction et avec qui ils ont reçu le prix de l’Institut de France décerné par l’académie des Beaux-Arts.

ORCHESTRE NATIONAL DE LYON L’Orchestre national de Lyon est l’héritier de la Société des Grands Concerts de Lyon, fondée en 1905 par Georges Martin Witkowski. En 1969, à l’initiative de la municipalité de Lyon et dans le cadre de la mise en place d’orchestres régionaux par Marcel Landowski, il devient un orchestre permanent de 102 musiciens, l’Orchestre philharmonique Rhône-Alpes. Dès lors, il est administré et soutenu financièrement par la Ville de Lyon, qui le dote en 1975 d’une salle de concert, l’Auditorium de Lyon, l’une des plus vastes de France avec ses 2000 places. Depuis la création de l’Orchestre de l’Opéra de Lyon en 1983, il se consacre au répertoire symphonique, sous la nouvelle appellation d’Orchestre national de Lyon. Après Louis Frémaux (1969-1971), l’ONL a eu pour directeurs musicaux Serge Baudo (1971-1987), Emmanuel Krivine (1987-2000) et David Robertson (également directeur artistique de l’Auditorium, septembre 2000-juin 2004). Grâce à eux, il s’est hissé au sein de l’élite internationale. Jun Märkl leur a succédé en septembre 2005 au poste de directeur musical de l’ONL. L’ONL a fait découvrir en première audition mondiale, européenne ou française les pièces des plus grands créateurs de notre temps, tels Pierre Boulez, Steve Reich ou plus récemment Marc-Antoine Dalbavie et Thierry Escaich, compositeur en résidence de l’orchestre pour trois ans depuis septembre 2007. La richesse du répertoire de l’ONL se reflète dans une vaste discographie sous la baguette de Serge Baudo, Emmanuel Krivine et David Robertson notamment. L’arrivée de Jun Märkl à la tête de l’ONL a donné une nouvelle impulsion à cette politique discographique, avec plusieurs enregistrements et projets d’enregistrements chez Altus et Naxos.